Le site DBV Technologies présente dans le détail la composition et le fonctionnement du patch Viaskin. Tout d’abord, il compte une couronne adhésive, puis un film PET Titanium et un sur-adhésif respirant.
Cet assemblage permet de créer une chambre de condensation avec la peau, augmentant l’hydratation naturelle de celle-ci et contribuant à solubiliser l’antigène, présent sous forme sèche sur le patch. À noter que la technique de chargement du principe actif sur le patch, via l’électrospray, est bien décrite sur le site https://www.dbv-technologies.com/.
L’application du patch Viaskin permet alors à l’allergène de pénétrer les couches supérieures de l’épiderme et de migrer vers les cellules de Langerhans, sans passer par le sang, limitant ainsi les réactions systémiques.
Les premiers résultats, obtenus par le Viaskin Peanut, sont extrêmement encourageants : les enfants de l’étude jouissent d’une désensibilisation importante et durable. Parallèlement, la start-up française mène d’autres tests sur les allergies aux œufs et aux protéines de lait, tout en préparant activement la commercialisation de son patch.
Pour en savoir plus sur le rythme de production, rendez-vous à cette adresse : https://www.dbv-technologies.com/fr/viaskin-technologie/production
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